• CALMES. Roger

    ATLAS DE L’AGRICULTURE NORMANDE. Presses Universitaires de Caen. 1995.

    CARBONE. G. et coll

    . L’ABCdaire DES LEGUMES. 1997. Flammarion. Paris.

    COUPLAN. François

    ETYMOLOGIE DE BOTANIQUE. 2000. Delachaux et Niestlé. Paris.

    CPIE

    . PASSEPORT “MARE”. PASSEPORT “ETANG”. Azay Le Ferron. 1997

    DUFLOS. Solange. GRAILLES. Jean-Louis.

    D’ETANGS EN MARAIS. 1978. Hatier. Paris.

    DUNCOMBE. Franck.

    LA PROTECTION DE LA NATURE EN BASSE-NORMANDIE. 1971. C.R.D.P. Caen.

    LE GOZIOU. Marie.

    LA NORMANDIE DES JARDINS. 1999. Editions Ouest-France. Rennnes.

    HEDIARD. Léon.

    MONOGRAPHIE AGRICOLE DU DEPARTEMENT DU CALVADOS. 1938. Imprimerie Caron.

    HVASS. H. et PETTER. F.

    LES MAMMIFERES DU MONDE ENTIER. Fernand Nathan. Paris.

    LE MASLE. R.

    REVUE PHOTOGRAPHIQUE DE L’OUEST. Juillet 1910. N°7. tirage Maison Berthaud. Cliché de la BM de Caen (fonds normand)

    LETELLIER DE BLANCHARD. Claude.

    L’EVOLUTION DU SYNDICALISME AGRICOLE EN BASSE-NORMANDIE DE 1884 A NOS JOURS. Thèse de doctorat en sciences politiques. . Caen. 1967.

    MICHEL.

    Jean-Pierre. VIE ET MORT D’UNE SOCIETE PAYSANNE. Creso. Université de Caen. B.M : N° 60. Octobre 1996.

    MOISY.

    Henri. DICTIONNAIRE DE PATOIS NORMAND 1969. (1ère édition en 1887. Caen). Slatkine Reprints. Genéve.

    MULLER.

    Colette. LES FRUITS ET LEGUMES DANS LE CALVADOS.

    Thèse de doctorat. 3ème Cycle. Université de Caen. Décembre. 1977.

    MUSSET. L.

    LA PRAIRIE DE CAEN. Le mois à Caen. Mars. 1974.

    OLIVIER

    . RAPPORT DE L’INGENIEUR EN CHEF A Mr Le PREFET SUR LA SITUATION DU SERVICE HYDRAULIQUE. Fait le 9 août 1861 et publié en 1862 dans l’ANNUAIRE DU CALVADOS.

    PERROT. J.C.

    GENESE D’UNE VILLE MODERNE, CAEN AU XVIIIème SIECLE. 1975. Mouton. Paris. La Haye.

    RYTZ. Walter.

    FLORE DES MARAIS. Editions Payot. Lausanne

    ZAHRADNIK. J.

    GUIDE DES INSECTES. 1978. Hatier. Fribourg (Suisse)

    Ouvrage collectif.

    OISEAUX NICHEURS. Editeur parc naturel régional Normandie-Maine. 1986.

    Ouvrage collectif.

    DICTIONNAIRE ETYMOLOGIQUE DE ZOOLOGIE. 1988. Delachaux et Niestlé.

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  • L’ABEILLE NORMANDE DU CALVADOS

    Récemment, un rucher école a été créé par l’association “l’Abeille Normande du Calvados” en lisière du marais, en face du numéro 39 de la rue des Roches. Les “happy culteurs” s’y donnent rendez-vous tous les samedis de mai à septembre.

    Les abeilles sont des animaux domestiques au même titre que les moutons ou les vaches. Elles sont logées, soignées, transhumées, sélectionnées et exploitées par l’apiculteur. Avec les vers à soie, ce sont les seuls insectes domestiqués. Mais l’abeille est aussi très utile car elle pollinise les fleurs, en particulier dans les vergers.


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  • Mr Hervé BOULANGER, professeur des Ecoles à Giberville.

    Mr Christian EECKHOUDT, conseiller municipal chargé de la voirie et des espaces verts dont les jardins familiaux.

    Mme Annie FETTU, service éducatif des Archives Départementales du Calvados

    Mr Michel KILATCHIKOFF, dernier maraîcher à Mondeville.

    Mr Jean LAMY, descendant d’une famille de maraîchers (1ère génération 1780). Ancien conseiller municipal responsable de la voirie et des espaces verts dont les jardins ouvriers.

    Mr Claude LEMARCHAND, ancien maraîcher.

    Mr Jean-Yves SICOT , responsable des espaces verts.

    Mr Jean-François SUARA , responsable de la serre municipale.

    Mr Christian VARIN, fils de maraîcher.


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  • Saule :

    dérivé du francique “salha” désignant cet arbuste. Celui-ci est une essence pionnière qui colonise rapidement une zone. Il pousse à proximité de l’eau mais aussi en forêt. Enfin, c’est une source de nourriture pour les abeilles et pour les chenilles de plusieurs espèces de papillons.

    Saule osier ou saule des vaniers :

    cet arbre a un feuillage argenté et une écorce jaune. Autour d’une mare située en bordure du Biez, quelques spécimens aux têtes rondes (“tétards”) semblent surveiller les lieux. Ses rameaux sont très employés en vannerie.

    Viorne :

    du latin viburna . Ce nom est peut-être dérivé de vieo (tresser, lier) par allusion à la souplesse des rameaux et à leur usage possible en vannerie.

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  • Frêne :

    antérieurement fresne et fraisne. Il pousse sur sol frais. Essence de lumière, c’est un arbre de grande taille pouvant atteindre plus de 30 m. Il vit de 150 à 200 ans. Son bois, à la fois élastique et dur convient parfaitement à la fabrication de manches d’outils et de meubles. Autrefois, son feuillage était utilisé à la place du foin pour nourrir les bestiaux l’hiver.

    Fusain d’Europe :

    dérivé du latin populaire “fusago”, issu du latin fusus qui signifie fuseau. A l’origine, le bois du fusain servait à fabriquer des fuseaux pour filer. Depuis plusieurs siècles, on utilise également cet arbrisseau à bois tendre pour faire un charbon léger employé pour tracer des esquisses ou pour réaliser des dessins.

    Noyer de Chine :

    du latin nuces pluriel de nux, nucis, noix

    Peuplier :

    Antérieurement “poplier” dérivé de populus, peuple. Les Romains en plantaient fréquemment dans les lieux publics. Dans le marais, les peupliers n’ont pas poussé spontanément .Ils ont été bouturés par des jardiniers.

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