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  • Nous devons l’idée du jardin paradisiaque aux conquérands
    arabes qui eux-mêmes avaient été influencés par les Perses.
    Notre mot paradis, nous vient d’ailleurs, par le biais du grec et
    du latin, d’un mot persan qui signifie “entouré de mur”. Ce
    modèle de jardin s’étendra en Europe par la Sicile et l’Italie et
    essaimera vers le Nord au fur et à mesure des conquêtes
    maures.



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  • La terre à Mondeville n'a jamais été riche : trop d'eau ou pas
    assez, sols trop lourds ou trop épais. Sur les prairies de l'Orne
    et les maraîchages voisins, la vie était rythmée par les marées
    ou les crues de l'Orne et de la rivière de Mondeville,
    aujourd'hui appelée Biez. Même les ouvriers des Roches, dont
    le travail a permis la construction du Londres historique,
    vivaient à ce rythme. Quant aux femmes, c'est la dentellerie et
    autres travaux du textile qui les retenaient au moins 12 heures
    par jour à la maison.
    Sur les plateaux, ce n'était guère mieux; par opposition aux
    terres saisonnièrement riches mais pernicieuses de la vallée,
    des terres calcaires sèches, aux sols peu épais, propices aux
    friches, aux taillis, à la chasse seigneuriale  et à un médiocre
    élevage. Seule la périphérie, celle des vieux villages ( Delle St
    Martin, Trainecourt), bénéficiait de riches limons
    traditionnels à la Campagne de Caen.


    MONDEVILLE. L'HISTOIRE EN CARTES POSTALES
    OUVRAGE COLLECTIF. DIRECTEUR DE LA
    PUBLICATION : J.P MICHEL. 1990. MAIRIE DE

    MONDEVILLE
     


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    MONDEVILLE SOUS LES COUVERTURES

     

    Monographie sur l'histoire de Mondeville de la préhistoire à nos jours.

    Ce livre compte 185 pages agrémentées de 89 photos et 64 dessins.  Prix 15 euros.

     

    7 exemplaires sont encore disponibles.


    A  prendre chez l'auteur

    Tel : 02/31/34/23/28


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    Le gouvernement n'avait cessé d'encourager dans la seconde
    moitié du XVIIIe siècle, les entreprises de défrichement des
    landes et des terres incultes, et de desséchement des marais,
    palus et terres inondées (déclarations royales des 14 juillet
    1764 et 13 août 1766 A.D.14, C 4195). L'on a conservé 21 états
    de déclarations faites pour le défrichement des terres incultes
    conformément à la déclaration d'août 1766. Ces états
    mentionnent d'octobre 1767 à octobre 1788, le défrichement
    de 30 920 arpents 65 perches dans l'étentue de la généralité de
    Caen, dont 1 915 arpents pour l'élection de Caen sur le
    territoire de 56 paroisses et notamment...à Mondeville, Moult
    et Argences.

     

    LE CAHIER D'OBSERVATIONS ET DE DOLEANCES DU
    TIERS-ETATS DE LA VILLE DE CAEN EN 1789
    FELIX MOURLOT. 1912. IMPRIMERIE MODERNE DE
    DREUX.

     


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