• Mr Hervé BOULANGER, professeur des Ecoles à Giberville.

    Mr Christian EECKHOUDT, conseiller municipal chargé de la voirie et des espaces verts dont les jardins familiaux.

    Mme Annie FETTU, service éducatif des Archives Départementales du Calvados

    Mr Michel KILATCHIKOFF, dernier maraîcher à Mondeville.

    Mr Jean LAMY, descendant d’une famille de maraîchers (1ère génération 1780). Ancien conseiller municipal responsable de la voirie et des espaces verts dont les jardins ouvriers.

    Mr Claude LEMARCHAND, ancien maraîcher.

    Mr Jean-Yves SICOT , responsable des espaces verts.

    Mr Jean-François SUARA , responsable de la serre municipale.

    Mr Christian VARIN, fils de maraîcher.


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  • Saule :

    dérivé du francique “salha” désignant cet arbuste. Celui-ci est une essence pionnière qui colonise rapidement une zone. Il pousse à proximité de l’eau mais aussi en forêt. Enfin, c’est une source de nourriture pour les abeilles et pour les chenilles de plusieurs espèces de papillons.

    Saule osier ou saule des vaniers :

    cet arbre a un feuillage argenté et une écorce jaune. Autour d’une mare située en bordure du Biez, quelques spécimens aux têtes rondes (“tétards”) semblent surveiller les lieux. Ses rameaux sont très employés en vannerie.

    Viorne :

    du latin viburna . Ce nom est peut-être dérivé de vieo (tresser, lier) par allusion à la souplesse des rameaux et à leur usage possible en vannerie.

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  • Frêne :

    antérieurement fresne et fraisne. Il pousse sur sol frais. Essence de lumière, c’est un arbre de grande taille pouvant atteindre plus de 30 m. Il vit de 150 à 200 ans. Son bois, à la fois élastique et dur convient parfaitement à la fabrication de manches d’outils et de meubles. Autrefois, son feuillage était utilisé à la place du foin pour nourrir les bestiaux l’hiver.

    Fusain d’Europe :

    dérivé du latin populaire “fusago”, issu du latin fusus qui signifie fuseau. A l’origine, le bois du fusain servait à fabriquer des fuseaux pour filer. Depuis plusieurs siècles, on utilise également cet arbrisseau à bois tendre pour faire un charbon léger employé pour tracer des esquisses ou pour réaliser des dessins.

    Noyer de Chine :

    du latin nuces pluriel de nux, nucis, noix

    Peuplier :

    Antérieurement “poplier” dérivé de populus, peuple. Les Romains en plantaient fréquemment dans les lieux publics. Dans le marais, les peupliers n’ont pas poussé spontanément .Ils ont été bouturés par des jardiniers.

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  • Aubépine Blanche :

    du latin “alba” blanche et “spina” épine

    Aulne, verne ou berne:

    Alnus désigne cet arbre en latin. Vient du celtique “lan” qui signifie “voisin des cours d’eau”. C’est une essence pionnière des zones marécageuses. Son enracinement profond stabilise le sol. Plusieurs aulnes glutineux (alnus glutinosa) poussent dans le marais. Ces arbres, grands buveurs d’eau peuvent atteindre 20-25 m de hauteur. Leur durée de vie est brève pour des arbres (cent ans environ).

    Bambou :

    bambusa, du portugais “bambu. Le genre bambusa regroupe plus d’une centaine d’espèces. Le bambou constitue une sous-famille de la famille des graminées.C’est un végétal à feuilles persistantes. C’est au milieu du XIXème siècle qu’il a été acclimaté en Europe. Les phyllostachys rustiques que nous pouvons voir dans le marais ont été plantés à la fin du siècle dernier.

    Cornouiller sanguin :

    (cornus sanguinea). Cornus en latin signifie corne, cornu. Ce nom a été donné en raison de la dureté de son bois. Cet arbrisseau buissonnant a de nombreuses fleurs blanches visitées par les abeilles. Ses fruits sont de petites baies noires.

    Erable :

    du latin médiéval “acerabulus” composé du latin acer désignant ces arbres et d’une finale, abulus provenant du gaulois. Une dizaine de variétés colonise le parc du Biez. Cet arbre pousse généralement et de préférence sur sol calcaire et résiste bien au froid. L’érable est une essence de lumière. Son bois est facile à travailler. Il est surtout employé pour le tournage (manche d’outils).

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  • Râle d’eau :

    vient du mot râler (doublet de racler). C’est l’évocation métaphorique du bruit que l’on fait en raclant un objet dur.

    Rat d’eau :

    du latin arvicola sapidus. Son nom indique qu’il est de la taille d’un rat et vit au voisinage de l’eau, dans les marais, les prés, les canaux et les lacs. Il creuse des terriers qui débouchent souvent sous la surface de l’eau. Il forme au dessus de son terrier un petit tertre qui ressemble à une taupinière.

    Vairon :

    vient de vair (latin varius “varié”). Vairon signifie tacheté. Ce petit poisson d’eaux douces à peau tachetée mesure moins de 10 cm. Souvent, il est utilisé comme appât pour pêcher la truite.

     


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